Une dynastie de tanneurs

Plan de l’article :

Le hasard a voulu que je sois présent lorsque mon oncle Luc Ballain a fait combler les fosses de tannerie de la « maison du bas » afin de créer dans ce sous-sol un lieu d’exposition d’artisanat d’art. La dernière trace d’une activité plus que centenaire disparaissait sous la dalle de béton. On était à la fin des années 70.

Une ou plusieurs tanneries ?

Si la tannerie de la rue du commerce, appelée par tous « la tannerie », la dernière en activité avant la faillite de 1956, était souvent évoquée, les autres lieux de l’activité de tannage l’étaient moins : la maison du bas dont l’activité avait cessé sans doute au début du 20ème siècle, la tannerie dite « de rivière » à moins que ce ne soit « de l’Esvière » à quelques mètres de la 1ère. Ou celle de la rue du couvent, apparue au détour du récit de tante jeannette. Je crois comprendre que le cycle du tannage impliquait plusieurs lieux celui de l’eau vive et celui des bains et du stockage. Mon oncle Luc se rappelait d’un récit qui évoquait dans cette tannerie de l’Esvière une roue entrainée par des chiens qui tractait ainsi l’eau de la Loire jusqu’aux cuves.

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